L’Espace Soardi a été fondé à Nice en 2011 par Géraldine et Benoît Soardi, frère et sœur issus d’une génération d’encadreurs depuis 1970. Ce lieu unique allie encadrement sur-mesure et galerie d’art.

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L’encadrement sur-mesure est au cœur de leur passion et celle de leur équipe qu’ils mettent ensemble au service d’une vaste clientèle locale et internationale. Leur savoir-faire ainsi que leur expertise en matière de conservation préventive des œuvres d’art est reconnue et sollicitée jusqu’au sein des musées et des galeries d’art.

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Parallèlement à cette activité d’encadrement, l’Espace Soardi propose à la vente des photographies, des sérigraphies et lithographies en éditions limitées mais également des pièces uniques encadrées sur-mesure à la main par son atelier.

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Ayant pour aspiration d’être au plus proche de l’actualité artistique, l’Espace Soardi a présenté plusieurs expositions temporaires pendant une dizaine d’années et a développé des partenariats de confiance au sein d’un réseau de galeries d’art en France comme à l’international.

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Partenaire de longue date, la galerie de l’Estampe, située à Strasbourg, est une maison d’édition qui possède l’unique atelier d’aquagravure en France. Elle édite et expose depuis quinze ans des artistes de la Nouvelle Figuration et plus particulièrement de la Figuration Narrative.

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La Figuration Narrative n'a jamais été un mouvement proclamé comme tel. Elle est née de l'action du critique d'art Gérald Gassiot-Talabot et des peintres Bernard Rancillac et Hervé Télémaque qui, en juillet 1964, organisent ensemble au Musée d'art moderne de la Ville de Paris l'exposition « Mythologies quotidiennes » en réaction aux mouvements contemporains du Pop-Art et de l’abstraction qui envahissent la scène artistique nationale et internationale.

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Tout comme leurs homologues américains, ils placent la société de consommation au cœur de leurs œuvres à travers l’utilisation des multiples registres de l’image (publicité, bande dessinée, illustration, cinéma…) mais refusent son esthétisme et dénoncent la conception de « l’art pour l’art ». Des artistes comme Peter Klasen, Eduardo Arroyo, Valerio Adami, Antonio Ségui ou Erró se fixent pour objectif de faire de l’art un outil de transformation et de contestation sociale.

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Avec la fin des années 1960, les plus militants de ces artistes s’engagent dans la politique, et particulièrement dans les événements de Mai 1968 en collaborant à l’atelier populaire organisé par les étudiants de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris. « L’histoire de l’art rencontrait l’Histoire », comme a pu le dire récemment Gérard Fromanger à l’occasion de l’anniversaire de cette période où se libéraient toutes les énergies.

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Exposition jusqu'au 29 décembre 2023.

Contact presse : Christina LANTERI, christina@espacesoardi.com

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